Un tableau c’est avant tout une histoire, une rencontre…

 

 

Autodidacte, Maria Cristina a commencé à peindre à l’adolescence. « Naïve », elle exploite les thèmes les plus divers au gré  d’une inspiration éclectique. La Bible, son pays le Brésil, la musique, les sirènes constituent ses sujets de prédilection.

 

Elle exploite indifféremment deux techniques : l’huile sur toile avec une palette de couleurs pures dans une approche miniaturiste, privilégiant le détail, et celle de l’icône : application de feuilles d’or sur du bois enduit puis peinture à  la tempera (mélange de pigments naturels, de jaune d’œuf et de vinaigre).

Maria Cristina utilise deux types d’encadrement : outre les traditionnels qui mettent en valeur toiles et icônes, elle recherche des cadres et supports originaux (fenêtres coloniales du Brésil, XIXème siècle, en bois massif ; dossiers de chaises anciennes…), à partir desquels elle crée des “fenêtres naïves” ainsi que des “sculptures-icônes” sur des troncs ou des branches de diverses essences et des objets, comme des trumeaux et des boites à bijoux.

 

Elle a participé à de nombreuses expositions en France, au Brésil, en Grèce, en Pologne et au Danemark. Ses toiles se trouvent principalement dans des collections privées et également au Musée international d’art naïf (Vicq) et au Musée d’art naïf (Béraut).

Ses œuvres les plus récentes sont présentées à la Galerie Jacqueline Bricard (Lourmarin) et à Gecko Art (Toulon).

Maria Cristina a également illustré le site Mousikos.fr ainsi que le livre L’action culturelle et de coopération de la France à l’étranger : un réseau, des hommes, aux éditions l’Harmattan et créé le logo Gecko Art. Un de ses tableaux, Le Mont Saint Michel, est reproduit dans le livre de Max Fourny, La Cité et les Naïfs.